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 fyre ➔ le culte de la plaie.
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Lilith Fyre
Lilith Fyre
student ⤜ an injured lion still wants to roar.
fyre ➔ le culte de la plaie. Zh5G
âge : les vingt-deux printemps à peine marqué sur ton visage poupée, à jamais juvénile, à jamais plus forte que le temps qui passe et ride les arbres. ô jouvence.
statut social : l'odeur des vieux bouquins, simili parchemin, la littérature étrangère au creux du cœur, spécialité française, Baudelaire au fond de tes trippes et l'âme vagabonde qui se délite à chaque vers
statut marital : la liberté te sied si bien, Lily, celle qui fait pousser dans ton dos tes magnifiques ailes.

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fyre ➔ le culte de la plaie. fyre ➔ le culte de la plaie. EmptyMer 20 Avr - 18:14

Lilith Alix Fyre
ft alice pagani. ➔ 22 yo ➔ littérature étrangère ( française )
identité. Fyre, alors que l'eau calme coule dans tes veines, Lilith alors que tu n'as d'infernal que tes yeux posés sur le monde avec cette maturité qui te dessine. Alix, peut-être, est ce qui te correspond le mieux, de ses syllabes douces qui coulent entre les lèvres. Cet empire Fyre qui te marque d'un tatouage indélébile brûlant ta carnation, cette peau ébène si douce broyée de l'héritage dépossédé, jamais, ô grand jamais désiré. Tu préfères d'ailleurs te faire appeler Lily, tant la tendresse de ce prénom résonne en ton âme évaporée. âge, origine.  les vingt-deux printemps à peine marqué sur ton visage poupée, à jamais juvénile, à jamais plus forte que le temps qui passe et ride les arbres. Ce culte de la jouvence que tu serres précieusement entre tes mains trop frêles, pourtant déjà si abîmées par le démon empirique de l'avenir. statut social. Tu n'as jamais eu à travailler, lilith, alors que la fortune démentielle de tes parents te brûle la peau dès que tu réclames quelques billets doux des mains âpres d'un paternel froid et amer. Hypocrisie, quand tu nous tiens, car tu uses et abuses de ses diamants bruts issus du Mal. Mieux vaut garder tes ainsi bien blanches brûlées par la braise de l'argent sale que de les voir salies par la fatigue du labeur. statut civil. La liberté te sied si bien, Lily, celle qui fait pousser dans ton dos tes magnifiques ailes. Tu ne te vois t'enfermer dans le couple que dans tes pires hantises, spectre de la perte de toi-même, de ce que tu chéris si fort en ton être aérien, diablement affranchi. orientation. Tu ne saurais dire, tant ta curiosité t'entraîne vers des cieux divers. Pansexuel, sûrement, te conviendrait le mieux, tant ton désir s'attise des envolées lyriques, tant les mots font vibrer tes iris claires et ton eau calme intérieure.

vie étudiante.
année d'étude. deuxième année, la première dévorée avec facilité, bonnes notes pleuvant sur ton avenir florissant.étude majoritaire l'odeur des vieux bouquins, simili parchemin, la littérature étrangère au creux du cœur, spécialité française, Baudelaire au fond de tes trippes et l'âme vagabonde qui se délite à chaque vers, quand les mots perçent ton cœur avare comme la flèche sa cible. à dartmouth depuis deux ans, tu as toujours connu l'ivy league, n'a jamais rêvé d'autres horizons étoilés. avis sur l'université et les confréries. réponse ici (préciser si l'étudiant.e a une confrérie préférée).

01. l'enfance heureuse, entourée de parents absents, mais d'une nourrice diablement charmante, aux yeux verts clairs et à l'âme bienveillante. Le lot des gamins héritiers, qui ne manquent de rien sauf des tendresses paternelles et des douceurs originelles. La cuiller en argent, le lit brodé d'or, et pas de bonne nuit chérie parce qu'on achète l'amour comme on broie les âmes célestes. δ 02. Tu es de ses esprits suaves et ineffables, de ceux qui dressent leurs prunelles infantiles vers tout ce que le monde a de sublime à offrir, de la fleur jaunâtre qui pointe le bon de sa musette en bas de ta fenêtre, jusqu'au papillon aérien qui se fraie un chemin sur ta piscine honteusement démentielle usitée à peine une fois l'année. Tu as la beauté en patronyme, la poésie qui se donne à toi, se vautre au fond de ton lit et te réclame. Tic tac tic tac, tu me manques, donne-toi à moi, qu'elle susurre dans tes oreilles, diablesse de fiancée aux allures érotisées. Δ 03. Tes yeux ne se tournent pas naturellement vers un brillant avenir, tu n'as jamais eu l'âme vibrant pour les diamants. Tout ce qui t'intéresse, c'est cette odeur de parchemin, le papier au coin du feu, celui qui se froisse, se gribouille, se dévore - métaphore rien qu'à moitié. Tu apprends à lire en quelques semaines, à peine, et tu n'arrêtes plus jamais, les jambes en tailleur et le regard qui vibre en ses allers retours, d'une ligne à l'autre, d'un mot qui s'extirpe de sa page, prend vie en ton âme évanouie, et tu t'ébroues quand tu en sors, avec la difficulté que ressentent les âmes brisées à revenir à la triste réalité. θ 04. Tu te perds dans Allan Poe, vagabondes dans ses labyrinthes réintriqués, te noies dans les adages de Baudelaire, invectives pliés en mots d'esprit,  bientôt ses âmes écrites deviennent tes mentors éternels, ne quittent jamais tes pas, et la moindre vue d'un nuage blanc dans un ciel nacré te ramène aux plumes de tes êtres spirituels. Tu es ailleurs, Fyre, bien loin du matériel que représentent tes ascendants, tu as l'âme poésie et le cœur romanesque. ζ 05. Tu as toujours été scolaire, et Dartmouth te tend les bras - même pas besoin du testament Fyre pour que tu obtiennes tous ses honneurs. Tu n'hésites pas un instant lorsque tu rempli les papiers d'inscription, et la littérature spécialité étrangère te paraît une évidence. Forger à nouveau les humanités dans l'héritage Fyre, voilà ta mission, celle pour laquelle l'on t'a forgé dans le plus poétique des aciers. Redonner ses lettres de noblesse aux billets sales honteusement désargentés. λ06. La tétanie qui te prend aux trippes quand il te faut franchir le seuil imposant de la grande Datmouth, vestige de l'Ivy League, et te voilà devenue grande, Lily, sans jamais perdre cette âme d'enfant qui te dessine si intimement.  Tes premiers pas sont douloureux, il t'arrive bien souvent de choir dans ces méandres labyrinthiques tristement plus réels que ceux d'Allan, mais tu te relèves sans cesse, portée par cette ingénuité qui t'émerveille à chaque instant. Le désespoir même est le plus grand des cadeaux, il te rapproche du Spleen baudelairien. φ07. Dartmouth te fait découvrir les valeurs politiques, intrinsèques à ta vision du monde. C'est l'absence d'autrice au programme qui te chamboule d'abord, fait naître cette petite voix au fond de ton âme, puis crier celle de l'injustice. Les Kappa ne tardent pas à t'approcher, et tu te lances dans cette brillante aventure à leur côté.
ton prénom/pseudo.  BurnOnFire, aka Lucie.  fyre ➔ le culte de la plaie. 2339190995 crédits de l'avatar.  hoodwink. scénario, pré-lien  elle sort tout droit de ma tête.  fyre ➔ le culte de la plaie. 2614363875  où as-tu trouvé IR  question idiote huhu. un dernier mot  mot.
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